Claude AI : alternative business à ChatGPT efficace même gratuitement
Si Claude AI bénéficie d’une renommée moindre par rapport à ChatGPT, l’outil a progressivement gagné en popularité auprès des professionnels, qui louent sa capacité à appuyer de nombreux processus de projets.
Claude AI est un concurrent direct de ChatGPT et bénéficie pour cela de capacités conversationnelles souvent évaluées comme les meilleures du marché. L’IA s’exprime ainsi aussi clairement en anglais qu’en français et possède des capacités importantes de compréhension des documents écrits par l’humain.
C’est d’ailleurs ainsi que débute tout projet professionnel mené avec Claude : faire parvenir à l’IA des documents contextuels lui permettant de comprendre le cadre professionnel. Anthropic, société éditrice de la solution, garantit que ces documents ne sont pas utilisés pour entraîner son modèle, permettant l’usage de cette IA même dans les milieux les plus protecteurs de leurs données.
Claude AI peut adapter ses réponses en fonction d’une base extensive de documents qui lui ont été fournis, d’expériences précédentes ou d’instructions détaillées directement en langage naturel (ne nécessitant pas une connaissance des techniques de prompting). Ces capacités sont accessibles dès la version gratuite de la solution. Celle-ci limitera toutefois l’envoi de documents à 5 fichiers de 30 Mo (mégaoctets) chacun par projet, et donc la précision potentielle des réponses de l’assistant.
Une version « entreprise », très récente, étend les capacités de Claude en lui permettant d’analyser des documents beaucoup plus longs ou en faisant apparaître la notion « d’artéfacts ». Plutôt que de présenter les réponses et productions de Claude AI sous la forme d’un flux de conversation linéaire, celui-ci est construit dans un document à part. Ce document peut donc être partagé au sein de l’organisation et ses modifications sont suivies par l’IA, qui peut ainsi améliorer en temps réel sa compréhension du besoin professionnel. Claude devient ainsi un instrument intégré à la chaîne de collaboration, plutôt qu’un outil de conseil exploité individuellement par chaque collaborateur.
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