Nuxe fait essayer à la génération Z sa « Crème fraîche » en réalité augmentée
L’essayage virtuel continue de faire de nouveaux adeptes. Snapchat est passé maître dans la mise à disposition de cette technologie auprès des marques. Son offre « Try on » permet aux utilisateurs de visualiser sur leur téléphone le rendu d’un produit en réalité augmentée.
La marque de cosmétiques Nuxe vient d’opter pour cette solution pour faire essayer sa « Crème fraîche » 3-en-1 qui cible les jeunes générations. Une « Lens » (un filtre) Snapchat fait ainsi découvrir de façon ludique les différents effets avant-après. « Grâce à son écran divisé en 3, afin de montrer chaque usage – crème hydratante, démaquillant et masque repulpant –, et à ses 3 ambiances, cette lens rend l’expérience à la fois immersive, interactive et pédagogique, pointe Sonia Garnier, Directrice Communication Corporate et Média de Nuxe. C’est une activation innovante avec un format inédit et un produit qui répond parfaitement aux attentes de la Gen Z. » Une campagne publicitaire portée par les formats disponibles sur Snapchat, comme Snap Ads et Story Ads, fait la promotion de ce filtre auprès des jeunes utilisatrices. Nous venons de consacrer un dossier dédié aux bonnes pratiques pour s’adresser aux moins de 25 ans : Insaisissable, indignée, hétérogène… La génération Z rebat les cartes de la consommation.
Repéré sur : La Revue du Digital
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Les nouveaux moyens de paiement séduisent les Français
Paiement sans contact, avec le mobile, en plusieurs fois sans frais… Les Français dressent un bilan plutôt favorable de l’émergence des nouveaux moyens de paiement, d’après une étude d’Harris Interactive réalisée pour l’Observatoire Cetelem. 75 % des personnes interrogées considèrent la dématérialisation des moyens de paiement comme une bonne chose. La majorité (56 %) affirme les utiliser de façon choisie, et non subie. Plus de 8 Français sur 10 les trouvent rapides, pratiques, faciles. Seul bémol : pour 55 % des sondés, la dématérialisation des moyens de paiement tend à faire dépenser plus. 34 % indiquent d’ailleurs dépenser effectivement plus depuis leur développement.
