


Visibilité et engagement : quelles sont les marques françaises les plus efficaces sur TikTok ?
Pour les marques françaises qui souhaitent émerger auprès d’une cible jeune, rien ne vaut TikTok, l’application la plus téléchargée dans le monde. Mais toutes ne rencontrent pas le même succès sur ce réseau social : Ogilvy Paris, qui a lancé un outil de mesure de performance dédié à TikTok, vient de dévoiler le Top 50 des marques françaises qui y sont le plus suivies. Sur les 200 marques considérées, 132 sont présentes sur TikTok et 89 ont établi un compte dédié en France, soit 12 % de plus en 3 mois, ce qui témoigne de l’attrait grandissant de la plateforme. En tête du palmarès, et de loin : Netflix France, avec plus de 3 millions d’abonnés sur TikTok ! Suivent McDonald’s France avec 672 800 followers, Disneyland Paris avec 658 100, Sézane avec 567 000 et Canal Plus avec 439 700 (voir le classement complet). À noter que Sézane se distingue nettement parmi les marques de prêt-à-porter : elle a notamment posté la vidéo la plus appréciée avec 3,9 millions de likes. Et c’est Burger King, 10e du classement, qui remporte le prix de la vidéo la plus vue.

Google Maps va permettre de planifier les recharges des voitures électriques
L’autonomie des voitures électriques peut être un sujet de préoccupation, surtout au moment de se lancer dans un long trajet. Y aura-t-il assez de bornes sur le chemin pour recharger le véhicule ? La prochaine version de Google Maps devrait radicalement changer la donne. D’après 9to5Google, l’application de navigation va proposer des itinéraires en fonction des bornes de recharge sur le trajet. Google Maps indiquera même à quelle borne il est préférable de s’arrêter en fonction de la charge de la batterie et du chemin restant à accomplir.






Instagram et Facebook ne vont plus permettre le ciblage des ados d’après leur genre
Meta, la maison mère d’Instagram et Facebook, vient d’annoncer sur son site une série de mesures pour encadrer le ciblage publicitaire des 13-17 ans sur ses réseaux sociaux. Très concrètement, à partir de ce mois de février, les annonceurs n’auront plus accès qu’à l’âge et à la localisation des mineurs pour leur proposer des publicités. Ils ne pourront donc plus cibler les adolescents selon leur genre. Ils ne pourront plus, également, avoir accès à leur historique sur Instagram et Facebook. Cela revient à « supprimer la possibilité pour les annonceurs de cibler les adolescents en fonction de leurs intérêts et de leurs activités », indique Meta, qui précise : « Nous reconnaissons que les adolescents ne sont pas nécessairement aussi bien équipés que les adultes pour prendre des décisions sur l’utilisation de leurs données en ligne à des fins publicitaires, en particulier lorsqu’il s’agit de leur montrer des produits disponibles à l’achat ».