

De nouveaux pompistes se déplacent pour faire le plein des véhicules
Vous l’avez peut-être remarqué : il devient de plus en plus difficile de trouver une station-service en France. « Depuis 2014, 300 stations ont fermé, indique la rubrique La Minute Conso de France Bleu. Et c’est loin d’être terminé puisqu’à partir de 2020, une station-service ne pourra pas être à moins de 13 mètres d’un immeuble, selon une nouvelle règle européenne. » Mais dans le même temps, les consommateurs sont de plus en plus impatients, et les automobilistes de moins en moins prompts à faire la queue pour remplir leur réservoir. D’où ce service qui se développe : venir faire le plein du véhicule là où il se trouve, que ce soit devant le domicile ou sur le parking du bureau. Ce système fonctionne déjà aux États-Unis (nous en parlions dans une Tendance fin 2016 : Face à Uber et BlaBlaCar, l’automobile se réinvente dans les services). Et aujourd’hui, des startups déploient ce concept de livraison de carburant à Paris et dans la proche banlieue : Pomp, TankYou, Gaston le pompiste, ou encore Refuel.



La voiture, un marché phare pour les assistants vocaux
Google, Apple, Microsoft, Amazon, IBM, Baidu, Alibaba... Tous les géants de la high-tech bataillent pour que leur assistant vocal devienne le compagnon de route des automobilistes. « Le contrôle vocal est aujourd’hui disponible sur de nombreux appareils électroniques, les clients s’attendent donc à retrouver les mêmes fonctionnalités dans leur véhicule. D’autant qu’elles leur permettent de garder les mains sur le volant et les yeux sur la route », explique Henning Schneider, ingénieur chez Ford Europe, au Journal du Net.






Kering teste le luxe par abonnement
L’annonce est passée inaperçue lors de la présentation des résultats du groupe mais a retenu l’attention du site FashionNetwork : François-Henri Pinault, le PDG du groupe, a lui-même indiqué que Kering testait actuellement un type de modèle de vente « par abonnement » dans le cadre d’un programme interne portant sur les stratégies de rupture. « Nous regardons les modèles de ‘souscription’, a déclaré le PDG de Kering. Je n’aime pas le mot ‘location’ car ce n’est pas exactement ça : il s’agit plutôt d’une sorte d’abonnement proposé sur certains types de produits. Cela existe aujourd’hui dans l’univers du mass-market. Cela n’existe pas dans un univers luxe. La question qui se pose, c’est ‘Est-ce qu’on peut amener ce modèle-là dans le luxe ? Et, si oui, qu’est-ce que cela veut dire ?’ Nous sommes en train de tester cela avec des partenariats extérieurs au groupe. »
