Référencement : comment la MAAF booste son trafic sur le web et ses rendez-vous en boutique
Sur le secteur très concurrentiel de l’assurance, la MAAF occupe les premières places sur Google. Un mot d’ordre pour y arriver : se mettre à la place des internautes. Sous le prisme du SEO, c’est aussi le discours de marque qui évolue vers plus de proximité. Les résultats sont au rendez-vous : environ 20 % des internautes qui arrivent sur le site d’une agence MAAF demandent un rendez-vous. Les explications de Yohann Jagoueix, responsable SEO de MAAF Assurances.
Cogedim construit un parcours 100 % digital pour vendre ses logements
Mi-mars, alors que le confinement entre en vigueur et oblige Cogedim à fermer l’ensemble de ses bureaux de vente physiques, le promoteur immobilier a une centaine de programmes en cours de commercialisation. « Après avoir absorbé le choc pendant deux semaines, nous avons décidé de passer à l’action et de mettre en place un système de bascule de nos bureaux de vente physiques en digital, explique aux Échos Thomas Penet, le directeur marketing de Cogedim. D’abord artisanal, le système s’est peu à peu structuré et a permis, in fine, de conclure des transactions 100 % numériques. » Nous avons décrit cette période d’accélération numérique dans notre Tendance La digitalisation à marche forcée des activités physiques.
Ikea fusionne ses applis pour se lancer dans le m-commerce
Ikea fait feu de tout bois sur l’expérience client : l’enseigne implante dans les centres-villes des grandes métropoles une nouvelle génération de magasins qui représente « le chaînon manquant entre le e-commerce et son réseau de mégastores, qui intéresse de moins en moins les consommateurs urbains » (lire notre Tendance sur le sujet) ; elle propose désormais des meubles en location pour mieux répondre aux nouvelles attentes des clients, qui privilégient l’usage à la possession (voir notre article) ; elle tisse des liens privilégiés avec ses clients en les invitant à donner leur avis dans une démarche collaborative (lire notre dossier sur la co-création)…
Pourquoi Axa France supprime son application mobile
L’assureur a retiré en avril 2018 son appli « Mon Axa » des stores d’applications français. « Cette app permettait notamment de consulter ses garanties, télécharger des attestations ou encore déclarer un sinistre en ligne », explique le Journal du Net qui revient en détail sur la décision de l’assureur. « Ça ne décollait pas », résume Antoine Denoix, directeur marketing, data et digital d’Axa France. En cause notamment : le fonctionnement du marché français de l’assurance qui repose sur des intermédiaires, comme les agents généraux ou les courtiers. « Contrairement aux pays anglo-saxons où c’est majoritairement du direct, pointe Antoine Denoix. Un assureur français n’a pas assez de contacts réguliers avec ses clients pour avoir une application. »